Si vous êtes un amateur de hockey professionnel, il y a de fortes chances que vous connaissiez le travail de Danny C. Danny, directeur adjoint de succursale de location dynamique au Québec, apporte la même intensité au quart de soir qu'il travaille 41 fois par saison en tant qu'officiel hors glace de la LNH.
Si vous êtes de ceux qui consultent les statistiques des parties des Canadiens de Montréal ou les mesures de rendement de n’importe quel joueur lors des séries éliminatoires, au moins une partie de ces données sont le produit du professionnalisme et du souci du détail dont fait preuve Danny en tant que statisticien de la LNH.
Selon Danny, ces mêmes compétences ont tendance à s’avérer utiles lorsqu’il s’agit de relever le défi quotidien de fournir un service à la clientèle exceptionnel. En tant que directeur adjoint, il aime le rythme rapide de la succursale BMW à fort volume où il travaille.
L’ accent mis par Enterprise sur le service convient parfaitement à l’expérience que recherche le concessionnaire BMW pour ses clients, dit Danny. « Ils veulent que tout le monde soit servi correctement, avec un certain niveau de calme et de classe que nous sommes déterminés à offrir à chaque interaction. »
C’est un peu en contraste avec son travail principalement anonyme dans la boîte de presse au Centre Bell pendant les parties de la LNH. En tant qu’officiel hors glace, « Vous offrez un service à la clientèle virtuel », dit Danny. Tout le monde veut connaître les faits, c’est pourquoi vous voulez que les statistiques soient aussi précises que possible. »
Le travail d’équipe joue un rôle essentiel quand il s’agit de respecter cette promesse. Pour chaque partie de la LNH, environ une douzaine d’officiels hors glace sont en fonction, dont sept sont chargés d’entrer les détails de la partie (temps passé sur la glace, tirs au but, tirs bloqués, pertes de possession de rondelle, aides, etc.) dans la base de données de la ligue en temps réel.
« C’est stressant, dit Danny. « Tout le monde a un travail différent à faire – différentes choses à rechercher. Et vous devez être en mesure de travailler sous pression pour ne pas faire d’erreur. Si une erreur se glisse, vous continuez comme si de rien n’était, car si vous vous arrêtez cela pourrait entraîner quatre ou cinq autres erreurs. »
La spécialité de Danny? Tenir compte du temps passé sur la glace. « Je suis très précis », dit-il. Si un changement de ligne est sur le point de se produire, je peux presque prédire ce qui va se passer, car ayant déjà été entraîneur de hockey, je comprends le déroulement d’une partie. »
Son amour pour le sport continue profondément, ayant participé au hockey en tant que joueur, entraîneur ou officiel depuis 11 ans, soit plus de la moitié de sa vie. C’est une autre raison pour laquelle Danny trouve une carrière chez Enterprise attrayante. « J’ai la chance de travailler avec deux excellents directeurs, qui sont très accommodants, dit-il. Ils comprennent que je dois parfois quitter le travail un peu tôt le mardi et le jeudi, afin de pouvoir me rendre au centre-ville à temps pour les parties. »
Qu’il s’agisse de son travail en succursale ou de son travail en aréna, Danny a découvert qu’il faut beaucoup d’énergie pour bien accomplir son boulot.
Les détails sont vraiment importants aussi. À la succursale, cela signifie « pas seulement effectuer des opérations pour effectuer des opérations », dit-il. Et, cela s’applique aussi à l’aréna, où il est essentiel de garder un œil attentif sur tout ce qui se passe. « Parfois, à la fin d’une partie, nous ne connaissons même pas le compte final, dit-il. Nous sommes là pour travailler, pas pour regarder la partie. »
Fait amusant : Danny n’est pas le seul impliqué dans la LNH. Pour la 11e année consécutive, la marque Enterprise est fière de parrainer la Ligue nationale de hockey.
Cliquez ici pour consulter l’entrevue de Danny avec le journal hebdomadaire du Québec, la Suburban.